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LES ALIMENTS NOURRISSENT, MAIS C'EST LA CULTURE QUI LEUR DONNE LE GOUT !
Yo. Hebib
La réintroduction du cerf de Berberie dans l’Akfadou
Si cette forêt de chênaies exceptionnelle a été choisie pour abriter le projet de réintroduction du cerf de Berbérie dans son milieu naturel, c’est parce qu’elle offre les meilleures chances de réussite du projet.(El Watan juil 08)
Gestion de la réserve naturelle oranaise :: L’expérience marseillaise au secours des îles Habibas L’archipel Habibas, au nord-ouest d’Oran, qui recèle des espèces végétales uniques au monde, est ciblé par un programme visant à faire de cette plus belle réserve naturelle de la Méditerranée une (...)
Parution du Dictionnaire des mots français d’origine arabe (Par El Watan)
Si cela trotte dans l’esprit de beaucoup de gens lettrés, travaillés sans doute par la curiosité d’en savoir plus, lui, Salah Guemriche, l’a fait. Avec brio. Oui, maintenant, on peut consulter le dictionnaire des mots français d’origine arabe.
Rubrique Culture La Croix - 24 avr.
«Rien ne pousse à l’ombre des grands chênes », avait déclaré le sculpteur Brancusi en quittant l’atelier de Rodin. Pour être restée dix ans chez ce maître et amant, Camille Claudel n’a longtemps été considérée que comme sa meilleure élève.
Un grand pas dans… la culture
Le quotidien Algérie News vient d’ouvrir la librairie «Socrate» Lire
http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2336109&rubId=5548
Pour moi, Mai 68 est le centre de la spirale culturelle qui commence dans les années 1950 jusqu’à la fin des années 1970. Au début des années 1960, l’UNEF avait à Lyon une activité forte, tant au point de vue théâtre, cinéma, jazz avec le Hot-Club de Lyon, exposition avec par exemple les expositions « Rencontres lyonnaises » de 1962 et 1963 qui ont marqué le panorama culturel lyonnais.
Aimé Césaire
L'inventeur de la «négritude», le poète du «Cahier d'un retour au pays natal», ancien maire de Fort-de-France, est mort jeudi à 94 ans. «Le nègre fondamental, le nègre inconsolé», Aimé Césaire a voulu l'incarner jusqu'au bout. LeTemps-culture
Le buste de Marc Aurèle récupéré L'Expression -
Les efforts consentis, à ce jour, pour protéger le patrimoine culturel contre le pillage et le trafic, exercés par des réseaux criminels, sont à encourager mais toujours est-il, qu’il faut redoubler d’efforts.
AUTEUR :Julie Lavandier
A propos de la découverte des squelettes de Tihitane et des sites rupestres de l’Immidir (Ahaggar)
Suite à la publication d’un article de presse paru en date du 25/26 mai 2007, les lecteurs d’El Watan ont été informés d’un certain nombre de découvertes archéologiques dans la région de l’Ahaggar. Par souci d’exactitude scientifique, notamment après la réaction suscitée à l’étranger par l’annonce d’une possible « première mondiale », il nous a semblé utile de rappeler que c’est par erreur que des sites ont été donnés comme « inédits » (Tihitane), et, une région comme, à peine, connue (Immidir).
Les parcs nationaux algériens
Le Parc national de Theniet El Had (Tissemsilt), en coordination avec la direction générale des forêts et le ministère de l’Agriculture, a édité un Atlas des Parcs nationaux (mars 2006) .
Le cerf de Berbérie Une espèce en voie de disparition en Algérie (El Watan juil 08)
Parmi les cervidés qui ont vécu en Afrique, le cerf de Berbérie est le seul dont on puisse affirmer la survivance jusqu’à nos jours.
De la qalaâ des Beni Hammad à Béjaïa (El Watan juil 08)
Triq Essoltane, mille ans après…
Il y a tout juste mille ans, en 1007, naissait dans le Hodna, au pied du Djebel Taqarbouzt, la dynastie berbère des Hammadites. Dans un milieu quasiment désertique, le royaume de la Qalaâ des Beni Hammad allait faire naître une brillante mais éphémère civilisation, qui allait rayonner sur tout le Maghreb.
Vestiges archéologiques à El Tarf (El Watan juil 08)
Ksar Fatma proposé au classement
Les vestiges anthropologiques et archéologiques s’étalent en effet du paléolithique au moderne en passant par le punique, le romain, le byzantin et le médiéval. Les vestiges, fort nombreux, parsèment le territoire de cette wilaya où les ruines sont le plus souvent englouties sous la végétation. Le premier inventaire, celui de Stefan Gsel, date de la fin du XIXe siècle.
Découverte du plus grand cimetière de l'âge de pierre au Sahara
14 août 2008
Niger: restes trouvés d'un grand reptile de 250 millions d'années
Des restes d'un grand reptile âgé d'environ 250 millions d'années et appartenant à un groupe de reptiles mammifères carnivores, les Gorgonopsiens, ont été découverts au Niger. La longueur totale de l'animal devait être d'environ trois mètres. 4/08/2008 SDA-ATS News Service
Ces ossements - une portion de crâne (mâchoire supérieure) et de grandes canines caractéristiques des Gorgonopsiens - ont été mis au jour lors de plusieurs expéditions en 2003 et 2006 dans le nord du Niger, dans une région saharienne frontalière avec l'Algérie.
"C'est une grande première car on ignorait jusqu'alors l'existence de cet étrange groupe en Afrique de l'Ouest", a précisé un paléontologue au Muséum national d'Histoire naturelle de Paris.
"Ces nouvelles découvertes confirment donc bien que, avant les dinosaures, le monde était parcouru par d'étranges reptiles carnivores à dents de sabre, qui devaient suivre les grandes migrations d'herbivores de l'époque", selon lui.
Quand les dinosaures peuplaient l’Algérie (El Watan)
Dernières découvertes d’ossements et d’empreintes
Il y a quelque 130 millions d’années, la vie ne devait pas être facile pour les sauropodes – comprendre les dinosaures herbivores quadrupèdes – qui se promenaient sur la plage d’El Bayadh, au milieu de prédateurs carnivores.
Eh oui, à l’époque, la ville se trouvait… au bord de la mer ! La wilaya d’El Bayadh, estimée un riche gisement d’empreintes, n’avait pourtant jamais révélé des traces de dinosaures telles que celles découvertes vendredi dernier. « Nous sommes sûrs qu’il s’agit d’une empreinte de sauropode, explique Cheikh Mammeri, ichnologue algérien. Ce qui est déjà exceptionnel, car nous n’en avons trouvé à l’heure actuelle que sur deux sites dans le pays. Si l’espèce est confirmée – peut-être un Brachiosaurus, quoi qu’il en soit, une espèce proche du Diplodocus – ce serait le premier cas en Algérie. » Une précieuse découverte, car ici, comme partout dans le monde, les empreintes de théropodes (carnivores) semblent plus faciles à trouver que celles des sauropodes. « Ces derniers, très lourds et très grands, devaient manger d’énormes quantités de plantes pour tirer de l’énergie, poursuit le spécialiste. Les scientifiques pensent donc qu’ils devaient s’arrêter de longs moments pour brouter et, par conséquent, se déplaçaient moins que les théropodes, chasseurs amenés à bouger pour trouver des proies. Ce qui expliquerait que l’on trouve davantage de traces de carnivores. » La présence de dinosaures, étayée par des empreintes, l’est également par des ossements. Par Mélanie Matarese
ASSIKEL, AVEC CEUX DU HOGGAR (El Watan)
Quand passent les vaisseaux du désert...
Assikel : pour raconter le voyage... celui des Imohaghs, Berbères du Sahara central : les Touareg. Assikel signifie voyage en tamahaq, la langue écrite et parlée par eux. Et c’est bien à cet assikel que nous sommes ici, initiés pour plonger dans sa signification profonde : avec les vaisseaux du désert, c’est une longue méharée qui nous mènera. « Comme au temps jadis », avec les gens du désert pour vivre avec eux la plénitude de cet autre espace... Suivons, donc, notre chef de caravane ! Par Naima Chekchak
Tazrouk, le plus haut village d’Algérie (El Watan)
un rendez-vous multicolore
Tazrouk : le plus haut village d’Algérie : 1942 m d’altitude. Un grand centre de vie et de culture au nord-est du Hoggar. Haut également par sa grande fête annuelle : la ziara de Tazrouk qui se déroule tous les premiers vendredis du mois d’août. Deux jours avant la ziara, le mercredi, le village a déjà accueilli un monde affluant de tous les horizons du désert : de Tamanrasset, d’Illizi, de Djanet, d’In Salah, d’Adrar, de Reggane et même d’Alger. Etant de la fête, nous y sommes arrivés, quant à nous, en méharée, au bout d’une semaine d’un voyage lent et exaltant, avec l’objectif du grand rassemblement de Tazrouk qui célèbre Moulay Abdallah, un sage de la région décédé il y a vingt-deux ans. Par Naïma Nekchak
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Yo Hebib
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